La principale ritournelle des pontes algériens est leur entêtement à vouloir dénigrer son voisin occidental qu’est le Maroc, particulièrement dans ses efforts contre la lutte contre la criminalité transnationale, notamment celle liée à la drogue.
Réagissant promptement aux délires des dirigeants algériens et d’une presse à leur ordre, les autorités marocaines se sont fait un point d’honneur de rétablir la vérité et de placer les responsables algériens face à leurs responsabilités internationales en matière de lutte contre le trafic de stupéfiants et la criminalité transnationale.
Ainsi, le Ministre marocain de l’Intérieur, Mohamed Hassad, a, dans une conférence de presse donnée le 13 août 2013, dénoncé avec virulence «la logique d’accusation systématique de l’Algérie» à l’endroit du Maroc sur le dossier de la lutte contre les stupéfiants et mis en lumière les efforts fournis par son pays dans ce domaine.
En effet, le haut responsable marocain a souligné que le Maroc a toujours tenu à gérer le dossier de la culture du cannabis avec transparence et détermination, loin de toute surenchère stérile.
Une démarche entreprise conjointement avec l’Office des Nations-Unies contre la Drogue et le Crime (ONDUC) afin de réduire graduellement la culture et le trafic de cannabis.
Des efforts considérables qui se sont soldés par la très forte réduction des superficies cultivées de cannabis, une lutte implacable contre les réseaux du trafic de drogue et le démantèlement de nombreux réseaux de trafic.
Des efforts, reconnus et salués par la communauté internationale, qui ont suscité l’adhésion des pays du voisinage euro-méditerranéen et favorisé la constitution du G4 (Maroc, Espagne, France et Portugal).
Aussi, l’unique explication de ce comportement d’hostilité des autorités algériennes est qu’elles ont volontairement opté pour une politique de maintien du statu-quo dans leurs relations avec le Maroc afin de favoriser les intérêts des trafiquants qu’elles protègent et de cacher son statut de principal producteur et fournisseur de psychotropes de l’Algérie dont l’impact est dévastateur sur la santé et la sécurité des populations.
Des psychotropes que les trafiquants algériens distribuent sans inquiétude aucune, depuis l’Algérie, vers les pays voisins, notamment le Maroc, et l’Europe.
Pire, l’Algérie est devenue aujourd’hui une terre de production d’opium, une activité qui ne peut être contestée par les pontes algériens, car reconnue officiellement par eux-mêmes.
La découverte de dizaines d’hectares de culture de pavots à Timimoun dans la wilaya de l’adrar, aux fins fond du Sud algérien et de laboratoires de traitement de cet opiacé dans la région de Ksar Aguenet prouvent si besoin est que l’Algérie est devenue une terre de production de drogue dure, comme l’opium, l’héroïne et la morphine.
Il n’est pas exclu que l’Algérie se substitue aux plaines de la Bekaa, en Syrie, et afghanes dont la culture de pavots est en chute libre et que des fumoirs d’opium bourgeonnent dans les oasis du Sud algérien et que des coffee shops voient le jour au Nord de l’Algérie.
D’ailleurs, le produit de la culture de cannabis à grande échelle est présent sur le marché algérien en quantité importante avec la complicité de nombreux éléments de l’armée et des gardes-frontières algériens, qui ont de ce fait amassé de grandes fortunes.
Un trafic de drogue à partir de l’Algérie qui génére d’importantes recettes qui servent à financer, entre autres, les réseaux de trafiquants de drogue, d’êtres humains ainsi que les groupes terroristes qui circulent en toute liberté sur le territoire algérien.
Un constat qui interpelle, notamment lorque l’on sait que l’Algérie, qui préside actuellement la sous-commission chargée de la lutte anti-drogue créée au sein de l’Union du Maghreb Arabe (UMA), n’a daigné convoquer cette structure ou pris contact avec le Maroc afin de mettre en œuvre un plan commun et efficace de lutte contre les réseaux qui s’activent de part et d’autre des frontières.
Une passivité algérienne qui a conduit les autorités marocaines à décider de la construction d’une clôture à la frontière avec l’Algérie longue de quelque 1 500 km afin de protéger le Maroc des menaces terroristes en provenance de ce voisin de l’Est versatile et lunatique et de porter un rude coup aux activités de contrebande ainsi qu’aux réseaux d’immigration clandestine.
En conclusion, il s’avère que les autorités algériennes ne savent plus à quel Saint se vouer face aux réussites du Royaume du Maroc et même leurs sorties médiatiques sont vouées à l’échec tant elles sont truffées de mensonges et de contre-vérités.
Il apparait de plus en plus que les responsables algériens développent un sentiment de persécution et soient atteints de schizophrénie tant leur comportement et leurs discours sont bizarres et délirants.
Aussi, il leur est suggéré de s’adresser à la chaîne algérienne de fabrication pharmaceutique de Saïdal pour leur fournir des neuroleptiques tels le Ritrovil ou le Diazepam ; deux neuroleptiques qu’elle fabrique à grande échelle et qui sont écoulés sur le marché des trafics de barbituriques qui inondent l’Algérie mais aussi le Maroc et d’autres pays d’Afrique et d’Orient.
En optant pour la calomnie dans le dessein de nuire à la réputation et à l’honneur du Maroc, les autorités algériennes ont mis, à leur corps défendant, en lumière les maux qui frappent de plein fouet leur société.