Destruction des gravures rupestres au Maroc : beaucoup de bruit pour rien

Destruction des gravures rupestres au Maroc :
beaucoup de bruit pour rien
Le 16 octobre 2012, Monsieur Aboubakr Anghir, coordinateur national de la Ligue amazighe des droits de l’homme, dite Asahafhnafrench, et illustre inconnu a lancé une bombe médiatique, qui s’est avérée mouillée.
Il a affirmé que des groupuscules salafistes, installés dans la région du Haut Atlas, près de Marrakech sont à l’origine de la destruction des gravures rupestres du site archéologique de la plaine de Yakour datant de plus de 8 000 ans.
Suite ses soit disant destructions, il aurait demandé aux responsables marocains d’intervenir pour protéger le reste des monuments historiques, notamment au Ministre de la Culture.
Une information aussi tôt relayée par le quotidien As-sabah et certaines agences de presse étrangère en mal de sensationnel et surtout prêts à dénigrer le Maroc, à porter atteinte à son image de marque et à tenter de faire fuir les touristes et les investisseurs qui se bousculent aujourd’hui aux portes du Royaume.
Toutefois, des investigations ont été menées par les services spécialisés du Ministère de la Culture, en collaboration avec les autorités locales et régionales ont confirmé le caractère fallacieux et tendancieux de ces allégations.
Aussi, face à ce déni d’information, le Ministre marocain de la Culture, a opposé, le 18 octobre 2012, un démenti ferme à ces fausses allégations.
Il en ressort donc, que monsieur Aboubakr Anghir, qui a ameuté la presse nationale et étrangère, a totalement oublié que le Maroc, dans toutes ses composantes unies, ne permettra jamais que des bandes d’hors la loi puisse attenter au patrimoine national.
Ce qui s’est passé en Afghanistan, au Mali, en Tunisie ou ailleurs ne peut avoir lieu au Maroc. Le peuple marocain y fera front. Les salafistes n’ont pas droit, et n’auront jamais, droit de cité au Maroc. Que ce soit bien clair.
Quant ce monsieur Aboubakr Anghir, il doit être en quête d’une notoriété qu’il tente d’obtenir en mettant face à face conflictuel les composantes de la société marocaine, à savoir berbère, arabe et juive et en jouant une partition qui lui a été dictée par les ennemis du Maroc.
Ce qui explique le titre de cet article, à savoir beaucoup de bruit pour rien.
Farid Mnebhi.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite