Cette interpellation s’inscrit dans le cadre de la surveillance des chaînes de Telegram, menée par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
La section antiterroriste du parquet de Paris a déclenché une enquête préliminaire pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle", a ajouté la même source.
La jeune femme devait être transférée au siège de la DGSI à Levallois-Perret, en région parisienne, pour y poursuivre sa garde à vue, selon une source policière.