Seize personnes ont été « écartées » des services de renseignement français depuis 2014 « pour leur potentielle radicalisation ou celle de leur entourage », mais aucun depuis la tuerie de la préfecture de police de Paris le 3 octobre 2019, ont affirmé les services du Premier ministre mardi.
Ces services se basent sur les conclusions de deux missions confiées à l’Inspection des services de renseignement (ISR), après le quadruple meurtre dans l’enceinte de la préfecture de police de Paris commis par un informaticien travaillant à la Direction du renseignement, Mickaël Harpon, soupçonné de radicalisation islamiste, qui a lui-même été tué.