L’annonce, effectuée par Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, le chargé des relations extérieures du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), au sortir d’une audience à Ouagadougou avec le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur de la crise malienne, relance le processus de paix, alors que des violences avaient repris dans le nord du Mali.
"Désireux de créer un climat de confiance réciproque pour la poursuite du processus de paix, réaffirmant notre attachement à l’esprit de l’accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix au Mali, (nous) déclarons la levée de la suspension de notre participation au sein des organes de l’accord", a lu M. Assaleh devant la presse.