Les différents groupes armés qui encerclaient depuis quelques jours les ministères de la Justice et des Affaires étrangères, n’étaient pas en mesure de se mettre d’accord sur leurs nouvelles exigences ou sur le maintien ou non du siège.
Des hommes armés maintenaient lundi le siège de deux ministères à Tripoli malgré l’adoption d’une loi controversée qu’ils réclamaient, certains d’entre eux exigeant désormais le départ du Premier ministre Ali Zeidan.