"Si ce mandat était avéré, ce serait un acte hostile contre la Côte d’Ivoire et il ne resterait pas sans réponse", a affirmé à l’AFP Moussa Touré, un conseiller de M. Soro. "Nous avons été informés via les réseaux sociaux qu’un mandat d’arrêt contre le président de l’Assemblée nationale ivoirienne aurait été envoyé. La notification par les réseaux sociaux n’a pas de valeur juridique", a-t-il ironisé.
