Quelque 120 pompiers, 30 véhicules et un bombardier d’eau ont dû être mobilisés pour circonscrire les flammes.
Samedi matin, le feu n’était toujours pas maitrisé mais les pompiers le considèrent comme "fixé" et surveillent toujours "un risque de reprise important", précisent les mêmes sources en citant la protection civile.
Selon la préfecture de Gironde, qui a lancé vendredi un appel "à la plus grande vigilance", les chaleurs qui sévissent ces derniers jours ont contribué à assécher la végétation, renforçant le risque de départs de feu en forêt.