D’autres informations affirment que de nombreuses filières, composées essentiellement de maliens, nigériens et algériens seraient très actives dans cette région et ont pour vocation première d’assurer la disponibilité en véhicules, le transport et la livraison de cette marchandise (armes et drogues douces) à leur commanditaire terroriste.
En retour, le polisario se voit livrer une cargaison de cocaïne destinée à être convoyée vers l’Europe via l’Algérie. D’ailleurs, et pour conforte ces informations, de nombreux membres du polisario ont été arrêtés récemment par les services sécuritaires maliens, dont des officiers en uniforme. Ils seront traduits devant les tribunaux sous le chef d’inculpation de trafic de plus d’une tonne de drogue.
Il est donc urgent que l’Union Africaine prenne une décision courageuse et conforme aux principes accords internationaux en matière de terrorisme et de lutte contre la criminalité transnationale d’exclure le polisario, mais aussi les pays qui le soutiennent.
L’organisation panafricaine se trouve désormais face au mur et il y va de sa crédibilité. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à se trouver dans cette position, notamment, les nombreuses ONG’s, associations et défenseurs de cette organisation mafieuse qu’est en fait le polisario.
Les membres de la direction de cette organisation, ainsi que ses représentants à l’étranger, devraient être poursuivis pour trafic international d’armes, de drogue, d’êtres humains et de soutien actif à une organisation terroriste, l’AQMI. Ils ne représentent en aucune façon la population sahraouie séquestrée dans les camps de la honte de Tindouf et ne peuvent
prétendre parler en son nom.