"Dans sa discussion avec le Raid", l’unité d’élite de la police, à Toulouse depuis l’aube, "il se revendique d’Al-Qaïda", a dit pour sa part une source proche de l’enquête. Aucune revendication de ses actions au nom d’Al Qaïda n’a cependant été rendue publique.
"Il était dans le collimateur de la DCRI (la Direction centrale du renseignement intérieur), comme d’autres, depuis les deux premiers attentats" de Montauban et Toulouse ayant visé des militaires.
"La police judiciaire a alors apporté un élément très précieux qui a boosté l’enquête", a indiqué la même source proche de l’enquête.