"Nous suivons cette affaire avec la plus grande attention et la plus grande vigilance" et "nous espérons que les charges retenues contre elles seront abandonnées", souligne Philippe Lalliot, porte-parole du Quai d’Orsay.
La victime du viol a été interrogée mardi par un juge d’instruction de Tunis qui doit décider de l’inculper ou non d’"atteinte à la pudeur", une affaire qui suscite un tollé depuis une semaine. A l’issue de l’interrogatoire, les avocats de la jeune femme se voulaient "optimistes" quant à l’abandon des poursuites contre leur cliente.