Selon l’armée, les fonctionnaires ont été appréhendés sur délation d’un membre des services d’immigration qui, arrêté en août, a reconnu être lui-même appartenir à ce mouvement lié, d’après l’Onu, à Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Plusieurs membres des services de sécurité ont été arrêtés au Nigeria pour appartenance présumée à la secte islamiste Boko Haram, en lutte armée contre le gouvernement d’Abuja pour imposer un califat islamique dans le nord du pays le plus peuplé d’Afrique.