Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a invité cette semaine la communauté internationale à fixer à Téhéran une ligne rouge à ne pas dépasser, juge, lui, que les sanctions économiques sont sans effet sur les ambitions nucléaires de la République islamique. Les membres de son gouvernement reconnaissent toutefois de plus en plus ouvertement l’efficacité du boycott du pétrole iranien en vigueur en Europe et aux Etats-Unis.
