La première banque allemande Deutsche Bank, pour laquelle Moody’s avait également émis un avertissement en février, ne figure pas dans la liste, car elle fait l’objet d’un examen à part.
Les décisions annoncées reflètent « le risque croissant de nouveaux chocs émanant de la crise de la dette en zone euro », commente Moody’s. Mais pour la plupart des huit banques examinées et leurs filiales étrangères, l’abaissement de la note est limité à un cran, moins prononcé que pour beaucoup des autres banques européennes sanctionnées par l’agence ces derniers mois.