Alain Orsoni dit avoir décidé avec les enfants d’Antoine Sollacaro, son avocat assassiné il y a un mois, d’observer "une certaine réserve" après ce décès. Mais après le meurtre, mercredi, du président de la chambre de commerce et d’industrie de Corse-du-Sud, Jacques Nacer, M. Orsoni dit atteindre "un tel stade de désespérance qu'(il se) sent presque obligé de parler".