"Une chose importante manque (dans le projet de résolution): un clause claire écartant la possibilité que cette résolution puisse être utilisée pour justifier une intervention militaire dans les affaires intérieures de la Syrie. Pour cette raison, je ne vois pas comment le projet pourrait être adopté", a déclaré Vladimir Tchijov, cité par Interfax.
Appuyés par les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne, le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil Elarabi et le Premier ministre du Qatar ont exhorté mardi le Conseil de sécurité des Nations unies à appuyer le plan de sortie de crise pour la Syrie, qui prévoit la mise à l’écart du président Bachar al Assad.