Dans un communiqué, la présidente PS de la région Poitou-Charentes déclare : "Les événements récents, aussi douloureux soient-ils, ne doivent pas entraîner une remise en cause d’un événement important pour la réflexion des socialistes". "La suppression de l’université d’été aurait été vécue comme une sanction à l’égard de La Rochelle, ce qui aurait été mal fondé et incompréhensible", selon l’ex-candidate à l’Elysée.