"L’Allemagne ne peut plus être le carnet de chèque de la Grèce. Chaque nouvelle aide, si petite soit-elle, chaque assouplissement (en faveur de la Grèce) irait dans la mauvaise direction", a-t-il souligné dans un entretien accordé au journal Bild am Sonntag.
"A un moment, tout le monde doit couper le cordon ombilical et pour les Grecs, l’heure est venue", a-t-il poursuivi.