La publication, qui cite des responsables US sous le couvert de l’anonymat, relève qu’en choisissant d’apporter un soutien sélectif aux groupes armés de l’opposition syrienne, Washington veut endiguer la montée en puissance de certains groupes islamistes, comme le Front jihadiste Al-Nosra, soupçonné de liens avec Al-Qaida.
L’assistance de la CIA, poursuit le Wall Street Journal, reflète cependant un changement d’attitude de l’administration américaine vis-à-vis de l’opposition syrienne, et ce même si Washington continue d’être sceptique à toute intervention plus poussée dans ce conflit armé vieux de plus de deux ans.