"Le référendum doit être annulé et un dialogue doit s’ouvrir dans le cadre de la Constitution. Nous ne discuterons jamais du résultat du référendum", a déclaré le Premier ministre devant les députés du Parlement, précisant que la loi irakienne sera imposée "dans toute la région du Kurdistan en vertu de la Constitution".
Cette déclaration intervient alors que le Parlement de Bagdad a voté lundi une résolution réclamant le déploiement des forces dans toutes les zones disputées, qui n’a pas encore été appliquée.