Des troubles et émois qui se sont accentués après que la France et le Royaume Uni ont confirmé, le 27 novembre 2013, leur complet soutien au plan de règlement du conflit artificiel du Sahara marocain proposé par le Maroc.
Ces trois puissances (USA, France et Royaume Uni), de surcroit membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, apportent ainsi donc un franc soutien au Maroc en considérant l’initiative marocaine sur ce dossier comme base sérieuse, crédible, juste et durable pour une solution négociée.
Une solution qui permettra de mettre fin définitivement aux souffrances et aux calavaires des sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf en territoire algérien.
Il y a lieu de souligner, que les conditions de vie des sahraouis et l’état de santé des femmes et enfants des camps de la honte à Tindouf se sont fortement dégradés suite aux détournements des aides humanitaires et médicales orchestrés par les responsables polisariens sans scrupules afin de s’enrichir avec l’aide et la complicité des officiers algériens.
Un autre phénomène gravissime qui se déroule en toute impunité dans les camps des séquestrés de Tindouf est la pratique à grande échelle de l’esclavage notamment à l’endroit des femmes et des enfants.
Une pratique courante dans ces lieux de non droit que les responsables du polisario et leurs protecteurs algériens ont longtemps dissimulée.
Pendant des décennies, les autorités algériennes et les pontes mafieux du polisario, ont vendu et vendent toujours, a l’abri des regards de la communauté internationale, des femmes de couleur contre des marchandises. Des pratiques esclavagistes qui apportent la preuve formelle que les responsables du polisario bafouent les règles élémentaires des Droits Humains et ce, pour se remplir les poches d’argent, même au détriment de la survie de milliers d’enfants et de femmes sans défense.
Aussi, dès l’annonce de la visite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI aux Etats-Unis d’Amérique, des évènements se sont produits dans les camps de Tindouf.
En effet, de très nombreux séquestrés sahraouis ont manifesté dans les camps arborant des drapeaux marocains et des banderoles sur lesquelles est écrit en arabe et en français : «Vive le Roi Mohammed VI», «Mohamed Abdelaziz et compagnie dégagent», «nous réclamons la fin du calvaire et le retour sur la terre de nos aïeuls au Maroc», «le Polisario et l’Algérie avec son pétrole ne nous ont rien donné », «Oui à l’autonomie».
Des manifestations, occultées par les ONG’s pro-polisariennes mais aussi par la presse algérienne et autres soutiens de cette entité fantoche qu’est la RASD, qui ont été violemment dispersées par les milices du polisario et les services de sécurité algériens.
Tous ces sahraouis ghettoisés demandent à ce que la communauté internationale mette fin à leur calvaire et les aide à rejoindre leur pays qu’est le Maroc et qui les attend depuis près de 40 ans.
Toutefois, face à ce mouvement de rebellion, les milices polisariennes et l’armée algérienne ont imposé un couvre-feu et interdit toute entrée ou sortie dans les camps de Tindouf. Des camps qui ne sont en réalité que d’immenses prisons à ciel ouvert et un affront pour toute l’humanité.
Il est vrai qu’avec le soutien déclaré des superpuissances et d’une très grande majorité de pays au plan d’autonomie proposé par le Royaume du Maroc pour ses provinces sahariennes, les autorités algériennes et les chefs du polisario éprouvent l’agoisse d’avoir à rendre des comptes aux sahraouis séquestrés mais aussi au peuple algérien.
Les dirigeants algériens qui se sont succédés en Algérie sont connus pour leur macabre registre d’assassinats extrajudiciaires, de tortures et de disparitions. Quant au polisario, une organisation créée et soutenue par les responsables algériens, ce n’est ni plus ni moins qu’un ramassis de terroristes, de mafieux et de tortionnaires que l’Algérie utilise comme une carte maitresse pour faire chanter son voisin marocain et l’affaiblir.
Il est devenu urgent pour la communauté internationale d’interpeller les responsables algériens sur les conditions inhumaines des séquestrés de Tindouf et d’ouvrir un couloir humanitaire pour permettre à ces séquestrés sahraouis de rejoindre librement et en toute sécurité leur pays qu’est le Maroc.
Madame Valérie Trierweiler a fait promesse, lors de la remise du Prix Danielle Mitterrand le 22 novembre 2013, de ne plus «se taire sur les scandales humanitaires et que l’humanitaire était son seul combat». Aussi, la séquestration des sahraouis de Tindouf dans des conditions inhumaines et scandaleuses par les autorités algéro-polisariennes devrait être une de ses priorités.
Des perspectives sombres qui causent de grosses déprimes et angoisses aux responsables algéro-polisariens.