Les quelques permis d’exploitation à des fins de recherche délivrés sur le territoire national sont en effet considérés par les Verts comme des chevaux de Troie, prélude à l’exploitation tout court. Mais le gouvernement ne renonce pas à l’idée d’un mode d’exploitation moins dangereux pour l’environnement que la fracturation hydraulique, le seul disponible actuellement. C’est donc en Algérie que ces recherches seront menées.
