Mais rapidemment, les policiers explorent une autre piste. Le couple possédait un perroquet gris du Gabon. Ce dernier aurait assister à la scène de crime. L’oiseau ne cessait pas depuis de répéter une conversation animée, en imitant différentes voix, qui s’achevait par ce qui semblait être les derniers mots de la victime à son agresseur : "Ne tire pas, putain".
La justice demande alors à un spécialiste des perroquets d’analyser la vidéo. Il assure que les cris de l’animal imitaient en effet une dispute entre un homme et une femme. Le meurtre aurait donc pour origine une dispute conjugale qui se serait mal terminée.
Si Glenna Duram avait bien rédigé plusieurs lettres de suicide, elle niait pourtant formellement avoir tué son mari, mais la justice a choisi mercredi de prendre en compte le témoignage de l’oiseau. L’Américaine pourrait encourir la prison à vie.