En Algérie, les autorités utilisent le mot "terroriste" pour désigner les islamistes armés qui sévissent dans le pays depuis le début des années 1990.
Malgré l’adoption en 2005 d’une Charte pour la paix et la réconciliation, censée tourner la page de la guerre civile qui a fait 200.000 morts pendant la "décennie noire", des groupes armés islamistes restent actifs dans certaines régions du pays et visent principalement les forces de sécurité.
Selon la revue El Djeich (l’armée), dépendant du ministère de la Défense, les services de sécurité ont tué 125 "terroristes" et arrêtés 225 autres en 2016.
(Avec AFP)