"J’ai donné des instructions au procureur général près la Cour d’appel de Bangui, parce que des crimes et autres graves violations des droits humains ont été commis, et continuent de l’être, par l’ex-président François Bozizé, les éléments de sa garde rapprochée et certains de ses proches", a déclaré M. Sendé.
Le ministre a évoqué "des assassinats, des arrestations, séquestrations, détentions arbitraires et tortures, des destructions et incendies des maisons d’habitation, des enlèvements, exécutions sommaires et extra-judiciaires, l’incitation à la haine et au génocide, les crimes économiques, et des actes de nature à compromettre la paix civile".
