Mais, c’est la règle dans ce genre de raid. Le moins de gens possible sont informés : la transparence ou le partage d’information par exemple au niveau des états-majors de l’OTAN, qui regroupe pas moins de 28 pays, est le plus sur moyen d’échouer, a ajouté cette source au ministère des Affaires étrangères.
A l’Elysée, on s’est refusé à dire si Nicolas Sarkozy avait été tenu au courant. Mais il est certain que personne dans le premier cercle du Président n’avait été prévenu avant l’assaut. "A ce niveau d’importance, le président ne partage pas ce qu’il sait avec son entourage. Pas plus qu’il ne dévoile par exemple l’intégralité de ses conversations avec Barack Obama", a expliqué un conseiller de Nicolas Sarkozy.