Attaque frontale contre le Maroc

Bonjour,

il me semble que mon papier, joint en infra, ait fait l’objet d’une modérarion. Si tel n’est pas la cas pourrait-il être publié sur atlasinfo ?. Cordialement. Farid Mnebhi.

Attaque frontale contre le Maroc
J’entamerai mon propos en rappelant aux lecteurs que le peuple marocain, en adoptant la nouvelle constitution et en élisant ses nouveaux représentants à la chambre des députés, à donner une leçon de démocratie au monde arabo-musulman.
Cette réussite sur le plan interne est également palpable dans les domaines diplomatique et économique. Les derniers évènements sur la scène internationale ainsi que l’inauguration de grands chantiers structurants attestent également de cette réussite et de la bonne santé du Maroc.
Malheureusement cette réussite est très mal perçue par les dirigeants algériens, les nostalgiques du franquisme et les quelques romantiques français.
C’est pourquoi, depuis quelques jours, ces parties hostiles au Maroc tirent à boulets rouges sur Maroc et ses institutions. Il suffit de faire une lecture rapide la presse algérienne, syrienne et celle proche de la droite franquiste espagnole pour en être convaincu.
Il est vrai également que la presse française n’est pas en reste, mais ses raisons sont tout autres.
Les munitions de cette attaque frontale sont fournies par le dernier livre des journalistes Eric Laurent et Catherine Graciet, titré « Un Roi Prédateur, main basse sur le Maroc » et exploitées par les journalistes algériens, syriens et ceux d’El Pais.
Dans leurs articles ont y trouve toute la panoplie de la phraséologie d’une campagne médiatique dirigée contre la Maroc. Cette campagne est bien entendu orchestrée par les services de sécurité algériens et syriens qui y trouvent dans ce cas d’espèce un moyen de détourner l’attention de leur peuple sur un soit disant évènement extérieur.
Il est à noter que les autorités civilo-militaires algériennes sont actuellement embourbées dans la préparation des législatives de mai prochain et les dernières analyses sur la situation politique sur ce pays laisse présager le pire. C’est pourquoi, les services algériens se sont mobilisés pour déstabiliser le Maroc.
Dans son entreprise, elle est aidée par les journalistes syriens attitrés des quotidiens proches des services de renseignement militaires, tel Tichrine.
Connaissant la proximité des régimes algérien et syrien, cette complicité contre le Maroc n’est pas surprenante.
Elle s’explique aussi par la position marocaine sur le plan diplomatique à l’encontre du régime syrien ainsi que des manifestations anti-Assad organisées à Rabat, Casablanca et autres villes.
Pour conclure mon papier, je souhaite apporter quelques éclaircissements :
1/ L’interdiction d’El Pais n’a rien à voir avec la liberté d’expression, car il s’agit de diffamations sans preuve.
La décision a été prise en application de l’article 29 du code de la presse contre toute atteinte à la personne du roi, du fait qu’il y a une volonté délibérée de défigurer l’image pour porter atteinte à la personne du roi.
2/ les témoignages de ce livre sont pour la plupart anonymes et généralement très approximatifs du fait qu’il n’y a jamais eu d’accès direct aux sources et donc non prouvés. Ce qui est contraire à la déontologie journalistique.
3/ que ce livre d’Eric Laurent et Catherine Graciet, finalement peu fouillé, a pour objectif ultime de choquer et de porter atteinte au Maroc, à son peuple et à ses institutions.
4/ et enfin, que les marocains, berbères, arabes, musulmans et israélites, qui ont donné une belle leçon de démocratie, ne permettront à quiconque de dénigrer et d’insulter leur pays, son peuple et ses institutions et qu’ils répondront à ces diffamations par le mépris le plus total.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel à cette demande serait appréciée. Cordialement. Farid Mnebhi.

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