Selon le quotidien The Times of Israël, le pape a été forcé d’annuler sa visite prévue en Israël, en raison d’un conflit du travail persistant au ministère des Affaires étrangères, qui ne permet pas que "les dispositions nécessaires soient prises" en vue du voyage.
Interrogé par l’AFP, le porte-parole du Saint-Siège, le père Federico Lombardi, a répondu: "une grève en cours constitue un problème et est susceptible d’entraîner des complications dans les préparatifs du voyage".
Mais, a-t-il ajouté, "il n’y a rien de plus" du côté du Vatican, et le Saint-Siège n’a jamais parlé en aucune manière d’une annulation de ce voyage très important.
Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères a confirmé qu’en raison de la grève, qui a débuté mardi, "les visites de dirigeants étrangers prévues – imminentes comme celle du Premier ministre britannique David Cameron la semaine prochaine, ou en préparation comme celle du pape en mai – seraient compliquées, voire impossible".