Accusations d’espionnage: le Maroc met au défi Amnesty t Forbidden stories de fournir « la moindre preuve tangible »

Le Maroc met au défi « Amnesty International et le consortium Forbidden stories, ainsi que leurs soutiens et protégés de fournir la moindre preuve tangible et matérielle, en appui à leurs récits surréalistes » et dénonce « une campagne médiatique mensongère, massive et malveillante ».

Le Royaume du Maroc condamne « vigoureusement la persistante campagne médiatique mensongère, massive et malveillante, évoquant une prétendue infiltration des appareils téléphoniques de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères à travers un logiciel », indique un communiqué du gouvernement.

« Le Gouvernement du Royaume du Maroc rejette catégoriquement ces allégations mensongères et infondées, et met au défi leurs colporteurs dont Amnesty International et le consortium « forbidden stories », ainsi que leurs soutiens et protégés de fournir la moindre preuve tangible et matérielle, en appui à leurs récits surréalistes », souligne le communiqué.

D’ailleurs, le Maroc, poursuit la même source, « est à nouveau la cible de ce genre d’attaques haineuses, qui trahissent la volonté de certains milieux médiatiques et d’ONGs de le mettre sous leurs ordres et tutelle. A leur grand dam, ceci n’est pas possible ».

Le Royaume du Maroc, qui a connu ces dernières années de grandes réalisations dans de nombreux domaines, continuera sur sa lancée pour consolider son émergence économique et son développement social, ajoute la même source.

« Fort de son droit et convaincu du bienfondé de sa position, le Royaume a opté pour une démarche judiciaire, au Maroc et à l’international contre toute partie reprenant à son compte ces allégations fallacieuses », conclut le communiqué du gouvernement.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite