Selon lui, le président Zine El Abidine ben Ali – qui "n’est pas un démocrate", d’après ces propres termes – "doit ce soir faire un geste pour répondre aux angoisses du peuple tunisien".
Ce qui est en jeu en Tunisie, "ce sont les Droits de l’homme. On ne tire pas à balles réelles contre des jeunes et des classes moyennes", a fustigé, jeudi, le président du Sénat, Gérard Larcher.