La chef de la diplomatie française a affirmé que "la France appelle, depuis le début, chacun à la retenue (…) et demande que soit évité un usage disproportionné de la force" et a espéré "que la voie de l’apaisement soit trouvée".
Jusqu’à maintenant, Michèle Alliot-Marie avait simplement évoqué des "mouvements sociaux" et proposé l’aide de la France en matière de maintien de l’ordre.