Le 5 janvier en présentant ses voeux à la presse, la présidente du Front national avait tiré la sonnette d’alarme en se disant "loin du compte" en terme de parrainages d’élus, brandissant même le "risque" qu’elle ne puisse carrément pas participer à la course à l’Elysée. Elle a renouvelé le message dans une note vendredi dernier à tous les membres du conseil national du FN, leur demandant de faire de cette collecte de signatures une "priorité absolue" sur le terrain.
Hormis 1981, où le Front national était une force marginale, Jean-Marie Le Pen a toujours fini par obtenir ces 500 signatures.