L’enquête de l’Inspection générale des services (IGS) n’a pas permis de démontrer l’existence d’une enquête sur Valérie Trierweiler, a-t-on précisé de même source.
Valérie Trierweiler, à qui l’enquête préliminaire a été transmise, "prend acte de la décision du parquet", a indiqué dans un communiqué son avocate, Me Frédérique Giffard.
"Même si des interrogations subsistent à l’issue des investigations menées, Valérie Trierweiler n’entend pas, en l’état, relancer la procédure judiciaire", poursuit son avocate.
Mardi, une source judiciaire a indiqué à l’AP que l’enquête ne semblait pas "en l’état montrer d’infraction". Ses résultats ont été transmis la semaine dernière à l’avocate de Mme Trierweiler, Me Frédérique Giffard.
Cette enquête préliminaire faisait suite à une plainte déposée fin octobre par Mme Trierweiler, journaliste à "Paris Match", après la publication par "L’Express" d’un article affirmant qu’elle faisait l’objet d’une enquête.
Citant des sources policières concordantes, le journal assurait que des policiers de la direction du renseignement de la préfecture de police avaient reçu l’ordre de recueillir des renseignements sur Valérie Trierweiler.
La préfecture et le ministère de l’Intérieur ont démenti ces informations. Le ministère a porté plainte contre l’hebdomadaire pour "diffusion de fausses nouvelles" et "diffamation". Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire.