"Le fait est que la plupart des preuves pourraient avoir été détruites par un bombardement de l’artillerie", a dit M. Hague au cours d’une conférence de presse à Londres, quelques heures après le feu vert donné par le régime de Damas à une mission d’inspection de l’Onu dans la zone, près de la capitale syrienne, théâtre mercredi dernier d’une attaque chimique présumée.
Le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague a déclaré dimanche que les preuves d’une attaque chimique du régime de Damas en Syrie "pourraient avoir été détruites".