Cette annonce a été accueillie avec soulagement par les autorités de ce petit royaume du Golfe, qui craignaient une nouvelle annulation de l’épreuve après celle de 2011 à la suite d’importantes manifestations de l’opposition dans le sillage du Printemps arabe.
Jeudi le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, s’était déclaré "préoccupé par l’usage excessif de la force contre des manifestants" à Bahreïn, via son porte-parole.
Lors d’une réunion vendredi à Shanghai avec les représentants des 12 écuries en lice cette saison, qui avaient exprimé leur inquiétude ces derniers jours, le grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone, s’est de son côté déclaré "sûr à 200%" que le Grand Prix de Bahreïn aurait bien lieu.