Les aurtorités iraniennes ont précisé que 200 "personnalités politiques" syriennes avaient participé à cette conférence.
Au cours de la réunion, le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a affirmé que fournir des armes aux insurgés syriens risquait de livrer toute la région au "terrorisme".
"La République islamique d’Iran n’a cessé de souligner qu’elle voulait une solution pacifique entre Syriens à la crise actuelle, sans ingérences étrangères (…) Ce sont les Syriens eux-mêmes qui savent ce qui est le mieux pour eux", a-t-il dit.