Hani Hussein était sur la sellette pour avoir accepté le versement d’un dédommagement de 2,2 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros) à la société américaine Dow Chemical après la rupture d’un accord de coentreprise avec la compagnie publique koweïtienne PIC en 2008.
Des parlementaires koweïtiens avaient demandé au début du mois à pouvoir l’interroger. L’affaire a plongé le Koweït dans une nouvelle crise politique et des parlementaires ont réclamé d’auditionner aussi le ministre de l’Intérieur.