Le 26 septembre dernier, elle s’est volontairement présentée devant le juge espagnol de Tenerife pour avoué son acte. Une équipe de police judicaire de la Garde civile ainsi qu’un médecin se sont rendus sur place pour fouiller le jardin. Le squelette de la vieille dame y a été retrouvé, enveloppé dans une toile métallique. L’autopsie a confirmé que la vieille femme était bien morte de causes naturelles.
Enterrer quelqu’un hors des normes réglementaires n’est pas reconnu comme étant un délit en Espagne. Néanmoins, l’expatriée pourrait être passible de poursuites en France puisqu’elle retirait régulièrement le montant de la retraite de sa mère, versée sur son compte d’une banque française.