Le Premier ministre français s’exprimait au lendemain de l’annonce par la France qu’elle travaillait avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne à une éventuelle utilisation de ces stocks. "Il me semble qu’il y a aujourd’hui de bonnes perspectives, notamment pour que les Etats-Unis et l’Europe s’accordent sur cette solution", a-t-il dit sur France Inter.
Le but est de faire baisser les prix des carburants, dont la hausse menace l’activité économique et l’emploi, à moins d’un mois du premier tour de l’élection présidentielle en France. "Il ne faut pas en attendre des miracles sur la baisse du prix de l’essence", a toutefois ajouté François Fillon.