«Que les choses soient claires. Je n’ai pas vu Carla Bruni depuis deux ans. Nous avions travaillé ensemble sur son dernier disque et, depuis, je n’ai pas pris un verre avec elle, je n’ai pas dîné avec elle», déclare-t-il.
Revenant sur cette rumeur qui a enflammé le web pendant plusieurs semaines, jusqu’à être rapportée dans la presse internationale, Biolay raconte: «Plus la rumeur a grandi, plus c’est devenu oppressant». Il ajoute: «Je me suis quand même retrouvé à la une de la presse anglaise en étant présenté comme l’amant de la première dame… c’est dur pour moi, pour ma fille et pour la femme que j’aime».
«J’étais seul»
«J’ai le sentiment d’avoir été lâché dans l’affaire. Le président dispose d’un cabinet qui lui permet de réagir à tous les coups qu’on lui porte (…) Moi j’étais seul». Il précise que Carla Bruni-Sarkozy l’a «appelé, désolée de l’ampleur que ça prenait».
Benjamin Biolay a gagné un procès pour atteinte à la vie privée intenté à la chaîne d’information continue France 24, qui avait relayé, à l’occasion d’une revue de presse, la rumeur prêtant au chanteur une relation avec Carla Bruni Sarkozy. La chaîne a été condamnée à verser 3.000 euros de dommages et intérêts à l’auteur-compositeur.
—Avec agence