La participation a quant à elle atteint 73,4%, selon la Cour constitutionnelle.
En Syrie comme à l’étranger, les opposants du chef de l’Etat, qui va entamer son troisième mandat, ont dénoncé une mascarade et jugent qu’aucun scrutin digne de ce nom ne peut avoir lieu dans un pays en guerre dont des régions entières échappent aux autorités et qui compte des millions de déplacés.
Bachar al Assad affrontait deux autres prétendants – Hassan al Nouri, ancien membre du gouvernement, et le parlementaire Maher Hajjar. Le premier est crédité de 4,3% et le second de 3,2%.