Anne Sinclair se dévoile dans une biographie choc intitulée « Anne Sinclair, femme de tête, dame de coeur »

C’est sans doute un des livres les plus attendus de l’automne en France: le livre "Anne Sinclair, femme de tête, dame de coeur" (éditions Calmann-Lévy) doit paraître mercredi prochain. L’ouvrage est signé par deux journalistes biographes, Alain Hertoghe et Marc Tronchot, qui ont mis deux ans à l’écrire. Le journal français TV Magazine en a publié vendredi des extraits sur son site internet.

On y apprend ainsi qu’Anne Sinclair compte parmis ses conquêtes amoureuses Jacques Attali et l’ancien Premier ministre de François Mitterrand, le socialiste Laurent Fabius, "avec qui s’improvisa une amourette de quelques mois", selon la biographie.

La biographie évoque aussi son départ de TF1 où la journaliste n’avait pas que des amis. En témoigne l’ancien PDG de la chaîne, Patrick Le Lay, qui affirme: "Ce n’est pas nous qui avons eu le mauvais rôle. C’est elle qui s’est mal conduite. Et en plus, elle a pris de l’argent. Alors moi je veux qu’on bien soit de gauche, mais quand on se pavane à Marrakech, il y a une limite".

Interrogée sur sa relation avec son mari Dominique Strauss-Kahn, Anne Sinclair confirme un échange de "lettres enflammées". Elle révèle aussi que dès l’idylle avec DSK rendue publique, son entourage l’avait mise en garde contre lui. "Sa réputation d’homme à femmes était déjà bien établie à Paris", explique le livre. "Déjà des Cassandre craignent qu’une déconvenue tragique attende leur amie".

La biographie évoque aussi l’arrestation de DSK au Sofitel de New York en juillet 2011, date à laquelle les deux journalistes ont tenu leur dernier entretien avec une Anne Sinclair, apparamment décontractée. "Une décontraction seulement apparente, qui, quelques minutes plus tard laissera subitement la place à une émotion paralysante, quand, sur des écrans de télévision, apparaît le visage de DSK. Le corps d’Anne Sinclair se raidit alors, le regard devient fixe. Plus un mot ne sort de sa bouche. Comme si le cauchemar, jamais, n’allait s’arrêter."

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