Cette résolution, qui pourrait être adoptée dès vendredi soir, constitue une percée diplomatique majeure. Depuis le début du conflit syrien en mars 2011, le Conseil de sécurité n’a jamais réussi à se mettre d’accord sur un texte, Moscou et Pékin ayant opposé leur veto à trois reprises.
Le projet de résolution prévoit la possibilité pour le Conseil de prononcer des sanctions à l’encontre du régime Assad si le plan de désarmement chimique n’est pas respecté.
Ce texte a été débattu jeudi soir lors d’une réunion des 15 membres du Conseil de sécurité. Le vote, à un niveau ministériel, est prévu vendredi à 20H00 (00H00 GMT), a indiqué la mission de la France auprès de l’ONU sur son compte Twitter.