Dans un discours initialement prévu vendredi dernier à Amsterdam, mais reprogrammé pour 08H00 GMT ce mercredi à Londres, en raison de la crise en Algérie qui requérait toute son attention, le chef de file conservateur va assurer qu’il préférerait que son pays demeure au sein de l’édifice européen, mais à deux conditions : que l’UE se réforme, et qu’elle accepte une renégociation de ses liens avec la Grande-Bretagne.
e Premier ministre David Cameron a finalement cédé aux eurosceptiques de son camp et pris le risque de braquer ses partenaires européens, en décidant de s’engager à organiser à l’horizon 2015-2017 un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne.