Dans une déclaration prononcée lors de la 50ème session du CDH, le Groupe de soutien à l’intégrité territoriale du Royaume s’est félicité de l’ouverture de nombreux Consulats Généraux dans les villes de Dakhla et Laâyoune.
Après avoir rappelé que la question du Sahara est un différend politique traité par le Conseil de sécurité de l’ONU qui reconnait la prééminence, la crédibilité et le sérieux de l’initiative d’autonomie présentée par le Maroc, le groupe a salué les efforts de M. Staffan De Mistura en tant que nouvel Envoyé Personnel du Secrétaire Général des Nations Unies pour la relance du processus politique exclusivement onusien sur la base du format consacré lors des deux tables rondes de Genève, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité, notamment la 2602, visant à parvenir à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et qui repose sur le compromis.
Dans cette déclaration prononcée par l’ambassadeur Sultan Chouzour, Représentant permanent des Comores à Genève, le Groupe fait remarquer que la question du Sahara est un différend politique traité par le Conseil de sécurité qui reconnait la prééminence de l’initiative d’autonomie présentée par le Maroc comme crédible et sérieuse pour une solution politique définitive à ce différend régional.
La résolution de ce différend régional contribuera à concrétiser les aspirations légitimes des peuples africains et arabes en matière d’intégration et de développement, objectif que le Maroc continue de viser et pour lequel il déploie des efforts sincères et continus, affirment les membres du Groupe.
Ils soulignent, en outre, que le Maroc s’est engagé, depuis de nombreuses années dans une interaction constructive, volontaire et profonde avec le système des droits de l’Homme des Nations Unies, en particulier le bureau de la Haut-commissaire aux Droits de l’Homme (HCDH), pour la promotion et le respect des droits de l’Homme sur l’ensemble de son territoire.
Dans ses résolutions sur le Sahara, le Conseil de Sécurité se félicite du rôle joué par les Commissions nationales et régionales des droits de l’Homme à Dakhla et Laâyoune et de l’interaction entre le Maroc et les mécanismes du Conseil des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations Unies, rappelle le groupe.