"Je ne connais pas leurs méthodes d’évaluation ni la façon dont ils (les Américains) garantissent l’exactitude" de leurs mesures, a déclaré au quotidien Du Shaozhong, porte-parole du Bureau de protection de l’environnement de Pékin. "Je trouve qu’ils cherchent à faire sensation en publiant (ces chiffres), ce n’est pas une attitude très sérieuse vis-vis de la recherche", a-t-il ajouté.
Selon les médias officiels chinois, la différence entre les mesures officielles et américaines est dû à la non-prise en compte par la Chine des particules les plus fines, celles qui sont les plus dangereuses pour la santé. Cette carence a conduit beaucoup d’habitants à se fier aux chiffres américains, amenant les autorités à promettre d’améliorer leurs mesures de la qualité de l’air.