L’article, dont un officier a affirmé qu’il avait été rédigé par quelqu’un "qui ne connaît pas bien la Libye", s’interroge sur la capacité de l’armée à défendre le pays alors que "nombreux sont ceux au sein de sa hiérarchie qui sont détenteurs d’argent, de trésors, de terrains et de monopoles". L’armée emploie 10% des hommes actifs et 2,0% de la population totale du pays, soit bien "au-delà de ses besoins de défense et de sécurité", écrit encore Libya Press.
L’agence a annoncé en décembre avoir cessé d’opérer sur le territoire libyen en raison d’une répression menaçante pour ses reporters.