"Nous suivons la situation avec attention" au Mali, dont la moitié nord est occupée par des groupes extrémistes se réclamant d’Al-Qaida, a affirmé M. Rasmussen au cours d’une conférence de presse. Mais, a-t-il insisté "L’Otan n’a pas l’intention d’intervenir".
Le secrétaire général de l’Otan a également écarté l’idée d’une intervention militaire en Syrie.
"Notre position reste la même. Nous n’envisageons pas de solution militaire, et pour nous la meilleure voie est celle d’une solution politique", a-t-il affirmé.
"Nous sommes très préoccupés par la situation" en Syrie, mais "nous n’avons aucune discussion concernant une option militaire", a ajouté M. Rasmussen.