Dans un communiqué, le Haut commissariat a indiqué que le disparu était parmi les premiers combattants à se rallier aux rangs de la résistance et de l’armée de libération, ajoutant que le regretté était témoin de nombreux combats qu’avait connus Mrirt et ses environs et avait participé aux événements et manifestations qui s’étaient déroulés dans cette ville durant les années 1950.
Après l’exil forcé de feu SM Mohammed V, le 20 août 1953, le défunt a rejoint la résistance secrète contre les forces d’occupation, branche de Casablanca, rappelle encore la même source, notant que le disparu avait participé à des campagnes de sensibilisation des habitants de la région pour mener le combat contre les autorités du protectorat.
Le regretté était non seulement un fervent patriote, mais également un homme dévoué au service de son pays et un défenseur farouche des valeurs sacrées du Royaume, relève le communiqué.