Ce plan prévoit notamment un cessez-le-feu des forces gouvernementales, une trêve de tous les combats deux heures par jour pour évacuer les blessés et fournir une aide humanitaire, et l’ouverture de pourparlers entre toutes les parties pour chercher une solution politique.
Ahmad Fawzi a précisé que le gouvernement syrien avait fait part de son accord dans une lettre adressée à l’émissaire de l’ONU.
Les Nations unies estiment que la répression a fait plus de 8.000 morts depuis le début de la contestation à la mi-mars 2011. Le mouvement, initialement pacifique, s’est radicalisé et armé face à la violence des forces de sécurité et a été rejoint par des déserteurs de l’armée. Le pays menace désormais de basculer dans la guerre civile.